Sophie Wilmès dans La Libre : "J'étais une enfant assez turbulente, très libre. J'avais un côté garçon manqué"
"C’est ici que je viens parfois me promener, quand je parviens à dégager un peu de temps." De sa main, Sophie Wilmès balaie l’horizon : droit devant, un immense champ et un sentier qui le longe. Nous sommes à la limite entre Rhode-Saint-Genèse et Linkebeek dans la banlieue verte de Bruxelles. Cette rencontre n’a pas été simple à organiser. - Une heure d’entretien ? En dehors du bureau ? Impossible ! - Pourquoi ? - Travail, travail, travail… Mais, Covid oblige, la Première ministre a dû renoncer à passer quelques jours à la mer, là où elle aime se ressourcer. Elle a trouvé un peu de temps pour une rencontre, entre deux réunions. À deux pas de chez elle.